Louis C. Hébert est né à Montréal en 1959. Fils de l’artiste peintre paysagiste Jean-Louis Hébert, il réalise dès son plus jeune âge qu'il possède un talent inné pour le dessin, une discipline qui devient rapidement sa passion.
De l'école des Beaux-arts de Montréal au cégep du Vieux Montréal, Louis exploite les différentes facettes de son art. Après ses études collégiales en art, il publie ses premières illustrations éditoriales dans des magazines ainsi que dans des quotidiens. Il réalise ensuite plusieurs couvertures de livres, notamment pour des oeuvres de Anne Hébert, Yves Thériault et Jean-Louis Roy.
C'est dans le monde de la publicité que Louis décide par la suite de mettre à profit son style et son potentiel créatif, à titre d'illustrateur. Fort de cette nouvelle expérience, il fonde le Studio de la montagne en 1984 (maintenant Hébert communication). Depuis ce temps, il a réalisé et conçu l'imagerie de plusieurs entreprises, ce qui lui a permis de devenir une des plus importantes entreprise du genre.
Au cours des années 90, Louis illustre de nombreuse affiches de films en plus de concevoir un timbre pour Poste Canada.
Parallèlement à toutes ces activités d'ordre éditorial et publicitaire, Louis n'a jamais cessé d'exposer et de pousser plus avant ses recherches picturales personnelles, ce qui lui a permis de développer aujourd'hui des techniques de peinture qui donne à ses oeuvres une signature unique.
Ayant choisi ,entre 2003 et 2010, le monde de la Formule 1 comme toile de fond pour ses tableaux, Louis C. Hébert a réussit à faire ressortir avec brio l'essence de ce sport; la vitesse, le mouvement, l'atmosphère, la compétition et la détermination . Certaines des oeuvres de cette série inédite font d'ailleurs déjà partie de collections privées d'entreprises telles que le Grand Prix de Formule 1 du Canada, la banque HSBC, Loto-Québec ainsi que d’autres collections privées à travers le monde.
Aujourd’hui Louis C. Hébert explore deux dimensions bien distinctes soit la peinture sur métal et les tableaux réalisés numériquement.
Son but étant toujours d’exploiter les textures,le mouvement et l'éclatement visuel pour mieux livrer l'émotion de l’oeuvre.